Les comédies américaines ont en général tendance à se ressembler les unes aux autres. L’humour « potache » Farelli like occupe très majoritairement l’espace, et ce de longue date. Dans cette catégorie, se retrouvent bien entendu de nombreuses nuances, variations, Mary à tout prix est bien différent de chacun des épisodes de Police Academy ou de Y’a-t-il un flic pour …, très différent également de The Hangover, et la qualité des dites comédies est très variable; certaines trouvent leur rythme, produisent leur effet, quand d’autres s’enlisent.
La comédie romantique n’est pas en reste, nous pouvons sans hésitation affirmer qu’il s’agit là d’un pan entier de l’industrie du cinéma américain.
Difficile de taire également l’influence d’un cinéma surdynamité, avec en figure de proue le très joueur Tarantino; que cela gicle !
Le cinéma américain se fait fort également de comédies intimistes, dites « indépendante », entre lesquelles nous arrivons toujours à retrouver un liant, dans le format, ou dans le fond.
A part, nous retrouvons la très belle efficacité et le très grand soin des frère Coen, mais aussi la psychanalyse interminable d’un Woody Allen qui entre deux cartes postales touristiques superficielles parvient toujours à sortir quelques films qui comptent.