Comme dans The silent house (2010), Gustavo Hernández inspire le récit fictionnel de No dormirás de faits réels. Une première filiation qui en appelle d’autres puisque ces deux films outre d’appartenir au même genre cinématographique (film d’horreur) voient leur déroulement ancré dans le passé. Mais il faut souligner que No dormirás emprunte plus généreusement que son aîné aux codes du thriller. Ainsi, cette caractéristique anime le dernier opus du cinéaste uruguayen d’une plus grande ambition qui sera visible en salle dès le 16 mai prochain.