Il y a dans Les destinées d’Asher une indéniable part autobiographique de son auteur. Elle n’est pas à rechercher du côté du rôle principal – Asher – mais de celui de son professeur de littérature incarné par Ami Smolartchik. Matan Yair, ancien enseignant de littérature et d’histoire, signe ainsi un premier long-métrage de fiction empreint d’une vraie valeur sociétale nullement limitée aux contours de la société israélienne.