La 47ème édition du Festival La Rochelle cinéma s’est ouverte hier sur la projection de It must be heaven d’Elia Suleiman. Une décennie sépare la réalisation de ce film et The time that remains (2009), désormais avant-dernière réalisation en date du réalisateur palestinien qui n’aura signé que cinq longs-métrages de fiction en un quart de siècle. Son dernier opus, dont il est question ici, lui a permis d’obtenir le Prix Fipresci et une Mention spéciale lors du festival de Cannes récemment clos.