Parmi les invités d’honneur du festival Lumière 2022 (notre journal critique) figurait Lee Chang-Dong. Ce cinéaste sud-coréen d’une extrême discrétion est rare tant dans les médias qu’à l’écran (seulement six longs-métrages écrits et réalisés en l’espace d’un quart de siècle). Nous avons saisi cette occasion rare de partir à la rencontre de cet écrivain devenu cinéaste primé à la Mostra de Venise pour Oasis (2002) et qui fut même Ministre de la culture en 2003-2004 dans son pays natal. Nous restituons ici les échanges entendus entre un public cinéphile et un cinéaste dont l’importance dans la Nouvelle Vague du cinéma sud-coréen n’a d’égal que l’extrême modestie.
Article publié dans “Festival Lumière”
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