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Le festival Court métrange s’annonce

Le festival court métrange vient de publier ses différents temps forts.

La 16e édition de Court Métrange, festival international du court-métrage insolite & fantastique, se déroulera du 9 au 20 octobre 2019 à Rennes. La compétition internationale se tiendra du 15 au 20 octobre, au Cinéma Gaumont. Le Parcours Métrange 2019 ouvre les portes de l’au-delà ! Fantômes, esprits, revenants,apparitions… Ceux qui hantent les vieilles demeures, les navires et les bords de routes se donnent rendez-vous en octobre à Rennes. Ça va être mortel !


16e Festival international du court métrage insolite & fantastique de Rennes



PARCOURS MÉTRANGE
Octobre 2019 – Rennes et région
Conférences – Animations – Expositions
Thématique 2019 : Fantômes !



Compétition internationale
Du 15 au 20 octobre 2019
Cinéma Gaumont, Rennes

Voici la bande annonce du festival !

La compétition internationale – Une sélection reflétant le meilleur de la production mondiale annuelle de courts métrages insolites et fantastiques, sera montrée en présence des réalisateurs invités du 15 au 20 octobre, au Cinéma Gaumont Rennes. Le Jury de la compétition internationale – Le réalisateur du traumatique Martyrs et du vertigineux GhostlandPascal LAUGIER présidera le Jury de cette 16e édition. Il sera accompagné dans sa tâche par Catriona MACCOLL, actrice anglaise et légende du cinéma bis (Frayeurs, L’Au-delà, La Maison près du cimetière… et Saint Ange de Pascal Laugier !), Karel QUISTREBERT, Déléguée générale du Festival des Maudits Films (Grenoble), Guy ASTIC, Président du Festival Tous Courts (Aix-en-Provence), directeur des éditions Rouge Profond, auteur d’ouvrages sur David Lynch, Stephen King…, Hervé MAHIEUX, acteur pour le petit écran (séries Doc Martin, Le champ Dolent…) et le grand (Rebelles, Allan Mauduit, Le mystère Henri Pick, Rémi Bezanson…), la cinéaste Joyce NASHAWATI a qui l’on doit le thriller Blind Sun (2016) et Christophe TAUDIÈRE, responsable du Pôle court-métrage à France Télévisions depuis avril 2011.

Le Parcours Métrange se déroulera du 9 au 20 octobre 2019. Fantômes, esprits, revenants, apparitions… Ceux qui hantent les vieilles demeures, les navires et les bords de routes se donnent rendez-vous en octobre à Rennes ! La thématique est lancée dès le 10 octobre avec Le bal des Lémures, exposition d’art fantastique organisée en partenariat avec le Naïa Museum. Le thème se déclinera ensuite lors de visites, expositions, projections, conférences, rencontres… en lien avec le thème du festival. Parmi les invités du Parcours Métrange, citons les interventions de l’artiste vidéaste Jean-François Robic, de l’ingénieur-écrivain du son Daniel Deshays, du philosophe Kevin Capelli, du maître de la série Pacôme Thiellement, du scénariste-réalisateur Hubert Blanchard ou encore de l’auteur-éditeur Guy Astic.


La liste des films qui seront présentés est très longue:

France

Metamorphosis de Juan Fran Jacinto, Carla Pereira (2019, 10 min 35, France) f

Il est trentenaire et habite encore chez sa mère. Taciturne et tourmenté, il a définitivement perdu contact avec la réalité. Une nuit, il profite de son absence pour se libérer une fois pour toutes de ses démons intérieurs.

A robot is a robot de Emil Friis Ernst & Nilas Røpke Driessen (2018, 6 min 01, France)

Retraçant la tragique fin de sa carrière militaire, un robot vétéran de guerre devenu inapte, trouve sa place parmi les humains au sein du chaleureux foyer d’une vielle dame tenancière d’un salon de toilettage pour chats.

Cuticulede Marie Houssin (2018, 5 min 23, France) f

Violette vit dans un appartement avec son petit ami. Une tension règne entre eux, le dialogue semble rompu. Alors qu’elle est dans la salle de bain pour se brosser les dents, Violette est interpellée par une étrange silhouette qui la regarde tout droit du siphon : un doigt vivant humain a élu domicile dans les canalisations.

Acide de Just Philippot (2018, 17 min 36, France)

Un nuage inquiétant a pris forme quelque part à l’ouest. Il remonte lentement vers le centre du pays, jetant la population sur les routes. Devant l’inexorable avancée du nuage, c’est la panique générale. Ce cumulus est acide.

Ça mouille de Alexis Godard et Nan Huang (2018, 7 min 18, France)

Une femme narcissique vit sans se soucier du monde qui l’entoure et ignorante du cycle naturel dont elle fait partie. C’est en atteignant les limites de son amour propre qu’elle va devoir s’ouvrir au monde et trouver une solution aux dysfonctionnements qu’elle a causé.

Leuki de Julien Leconte (2019, 4 min 54, France)

Leuki a mystérieusement disparu. Papeï se lance à la recherche de son fidèle compagnon et fait la rencontre d’un bien étrange tentacule.

Tharon-Plage California de Matthieu Vigneau (2019, 16 min 50, France)

Victor est chirurgien esthétique. Alors qu’il quitte l’Oregon pour démarrer une nouvelle vie à Tharon-Plage, en Californie, il fait la rencontre de Timothy, un jeune skateur.

Jeu des enfants de Ekin Koca (2018, 2 min 58, France)

Strasbourg, 1518. La ville souffre de famine et de maladie. Face au désespoir, les habitants de la rue du Jeu-des-Enfants se mettent à danser avec la Mort.

Mémorable de Bruno Collet (2019, 12 min 12, France)

Depuis peu, Louis, artiste peintre, et sa femme Michelle vivent d’étranges événements. L’univers qui les entoure semble en mutation. Lentement, les meubles, les objets, des personnes perdent de leur réalisme. Ils se déstructurent, parfois se délitent…

La tête dans les orties de Paul Cabon (2019, 14 min 16, France)

Bastien et ses deux amis entrent dans la zone interdite. Au cœur des ruines et de la brume toxique, quelque chose attend…

L’heure de l’ours de Agnès Patron (2019, 13 min 52, France)

Ce soir-là, les maisons prendront feu. Les hommes et les femmes se mettront à trembler. Les enfants se rassembleront en hordes hurlantes, dansant seuls parmi les cendres, rappelant à eux les ours sauvages. Car le cri d’un seul suffira à tous les réveiller !

Ce goût en bouche de Laura Passalacqua (2018, 1 min 57, France)

La chambre est ennuyante, presque vide. Le jardin est rempli d’étrangetés familières. C’est en ces lieux que, troublé, il débute sa progressive découverte de soi.

Sous le cartilage des côtes de Bruno Tondeur (2018, 13 min 03, France, Belgique)

Pierrot a une plaie qui ne se referme pas. C’est dur quand toute la vie ça gratouille par-ci et que ça suinte par-là. Et paf ! Une crise. Et paf, la maladie. C’est peut-être juste une angoisse… ou pas. Peut-être qu’ils en parlent sur Doctissimo? C’est l’histoire d’un mec qui va mourir… peut-être.

Autres pays

Fest de Nikita Diakur (2018, 2 min 55, Allemagne)

Une rave party. Drone, barbecue et crème glacée. Puis une cascade. Inspiré par Youtube.

Fuse de Shadi Adib (2018, 7 min 18, Allemagne)

Un piège à souris se referme sur sa victime. Un groupe d’hommes se trouve là, une discussion animée s’engage : comment va-t-on tuer l’animal ? L’un après l’autre, ils surenchérissent sur leurs fantasmes sadiques. Un inconnu suggère alors de relâcher la souris, mais sa proposition s’avère n’être qu’une manipulation révoltante.

Wild Will de Alan King (2018, 12 min 56, Australie)

William Page, employé à la fourrière, retrouvé errant dans les rues, hagard et déboussolé, est amené au poste de police. La situation prend vite des allures d’Enfer sur Terre.

Here There Be Monster de Drew MacDonald (2018, 14 min 30, Australie)

Suite à un harcèlement incessant sur son trajet en bus, Elki s’endort et se retrouve piégée dans le bus de l’école au sein d’un entrepôt vide. Sa frustration se transforme rapidement en peur quand elle aperçoit quelque chose d’immense qui se cache dans l’ombre.

PTSD de Claudia Cortés-Espejo, Lora D’Addazio & Mathilde Remy (2019, 8 min 24, Belgique)

SSPT (PTSD) est le résultat de trois courts métrages : d’abord ce pauvre Billy, enfant malsain et à troubles psychologiques, qui tente d’aider sa mère ; ces trois canards qui essaient de comprendre ce que fait cet étrange volatile dans leur étang ; et enfin cette chaîne de haine, où tout le monde se défoule sur l’autre. Trois histoires, trois styles, trois réalisatrices.

Maw de Jasper Vrancken (2019, 19 min 53, Belgique)

Richard est rongé par un sombre fantasme : il est sexuellement excité par l’idée d’être dévoré par un animal sauvage ou un monstre. Il rencontre alors le mystérieux Max qui lui offre la chance de réaliser ce fantasme refoulé. Est-ce que Richard va résister à ses sombres désirs ?

Chowboys de Steven Kostanski, Jeremy Gillespie, Conor Sweeney, Adam Brooks, Matthew Kennedy (Astron-6) – (2018, 8 min 33, Canada)

La situation semble désespérée pour ces trois mystérieux cowboys qui se retrouvent perdus dans la nature par une nuit glaciale, la plus froide qu’on n’ait jamais connue. Les Canadiens d’Astron – 6 renouent avec le mode court et en profitent pour questionner le concept même de narration. On nage dans le grotesque et l’absurde.

La couleur de tes lèvres de Annick Blanc (2018, 17 min 41, Canada, Québec) f

Dans une atmosphère devenue subitement irrespirable, un plongeur et une femme semblent être les seuls survivants. Alors que leurs réserves d’air s’amenuisent, se feront-ils la guerre ou l’amour ?

Re:Possessed homes de Matthew Evans Landry (2018, 15 min 34, Canada)

Shirley Parker, deux enfants, est mère célibataire. Agent immobilier très performant, elle sait saisir toutes les opportunités qui se présentent à elle, même vendre des maisons hantées.

Imbued life de Ivana Bosnjak , Thomas Johnson (2019, 12 min 15, Croatie)

Imbued Life est un film traitant de la connexion d’une jeune femme avec les forces de la nature. Taxidermiste, elle utilise son talent pour « réinsérer » les animaux dans leur habitat naturel. Cependant, la vraie recherche de réponses commence quand elle trouve des bandes de films non développés au sein des corps des animaux dont elle s’occupe.

Fin de Yimit Ramirez (2019, 20 min 11, Cuba)

Juan est mort, mais on lui donne la possibilité de revivre un moment de sa vie, un moment assez particulier toutefois.

A little taste de Víctor Català (2019, 5 min 12, Espagne)

Une petite fille fuit, désorientée, dans le bois. Quelque chose de menaçant semble la poursuivre. Elle arrive dans une petite clairière, où elle rencontre une autre petite fille, qui joue toute seule sur une balançoire…

Hopes de Raùl Monge (2019, 9 min 57, Espagne)

Hopes raconte l’histoire de deux personnes sans abri, une petite fille et son compagnon à capuchon. Leur relation, basée sur une dépendance singulière, est montrée du point de vue de l’enfant. Une soumission invisible qui reflète le pouvoir du plus fort.

Limbo de Daniel Viqueira (2018, 15 min 10, Espagne)

L’incapacité de Xose à accepter sa nouvelle vie le pousse dans une spirale autodestructrice.

El Cuento de Lucas Paulino Àngel Torres (2019, 09 min 41, Espagne)

Une sorcière qui observe depuis l’appartement de l’autre côté de la rue et une histoire qu’aucun enfant ne devrait jamais entendre…

Bailaora de Rubin Stein (2018, 15 min, Espagne)

Une guerre. Une jeune fille. Un rêve.

Orpheus de Priit Tender (2019, 12 min 48, Estonie)

Grâce à sa musique, Orphée a la capacité d’enchanter le monde, les animaux comme les plantes. Sa chanson peut même ressusciter sa bien-aimée Eurydice. A une condition près : jusqu’à ce qu’Orphée atteigne le monde des vivants, il est dans l’incapacité de se retourner afin de vérifier si son amour est véritablement en train de le suivre.

Boys’ club de Troy Dewinne (2018, 9 min, Etats-Unis)

Un sex addict repère une poupée gonflable en dehors de son bunker anti-apocalypse.

Tic de Ben Nicholas (2019, 15 min 34, Etats-Unis)

Alan, un critique passionné du shopping en ligne, est aussi un tueur en série ou du moins, fait semblant de l’être lorsqu’il commente des produits tels que des pelles, des sacs à ordures et des serrures en acier. Les critiques sombres et humoristiques d’Alan sont découvertes par le détective Backman, un vieux policier étranger au monde de la technologie et de la rectitude politique, qui réalise que son temps pourrait bien être compté.

Morning Wormhole de Michael Vasquez (2018, 1 min 10, Etats-Unis)

Morning Wormhole est une animation expérimentale réalisée pour un épisode de « Off the Air » sur le thème de la santé. Par l’utilisation de différentes techniques d’animation ce court métrage relate les interconnexions entre les êtres et les choses.

Snaggletooth de Colin Bishopp (2018, 8 min 48, Etats-Unis)

Une mère fait croire à sa petite fille qu’elle l’emmène lui acheter un chiot, mais mère et fille se retrouvent en fait chez le dentiste et ce à la tombée de la nuit. Pourquoi un rendez-vous à une heure aussi tardive, qui est réellement ce dentiste? Et le chien dans tout ça ?

Rémission de John Charter (2018, 7 min 27, Etats-Unis)

Trois créatures témoignent du traumatisme de guerre d’un soldat inconnu et de son vaste pèlerinage solitaire pour sortir d’un cercle infernal.

Le silence des poissons mourants de Vasilis Kekatos (2018, 19 min 35, Grèce)

Makis travaille dans une exploitation piscicole. Un matin, alors qu’il part travailler, on l’informe qu’il est mort depuis hier. Il accepte sa situation. Il ne lui reste plus qu’à trouver quelqu’un pour s’occuper de ses canaris avant son enterrement…

Parru pi tía de Giuseppe Carleo (2018, 14 min 48, Italie)

Annachiara habite dans la banlieue de Palerme avec sa famille. Elle attend son ancien fiancé qu’elle cherche en vain à reconquérir. Sa grand-mère lui suggère alors un ancien rituel qui pourrait bien lui permettre de le séduire à nouveau.

Acquario de Lorenzo Puntoni (2018, 15 min, Italie)

Deux êtres humains profondément différents mais unis en même temps se rencontrent pendant une tragique journée à la piscine.

Grand bouquet de Nao Yoshigai (2019, 15 min, Japon)

Une femme est confrontée à un « objet noir » doté de pouvoirs supérieurs aux siens. L’ « objet noir » lui pose des questions, la femme détient les réponses à ces questions, mais ne peut les dire à haute voix. Alors, renonçant à parler, elle s’adosse à un mur et se met à vomir des fleurs multicolores.

The Juggler de Skirmanta Jakaité (2018, 11 min 05, Lituanie)

Nous vivons dans la même maison, mais dans des appartements différents, avec des emplois, des situations, des croyances, des visions différentes. Ce film parle de l’autre côté de la vie – le côté effrayant et inconnu que nous ne comprenons jamais complètement, mais nous savons qu’il est là, quelque part, si proche.

Ulises de Jorge Malpica (2018, 7 min 50, Mexique)

Les sirènes ne sont ni attachantes ni sympathiques dans la mythologie. Elles sont souvent associées à la mort et dominent les océans grâce à leurs voix captivantes. Elles demeurent des créatures dangereuses affublées de caractéristiques humaines. Ulises est l’histoire d’un pêcheur sortant en mer sans savoir si il aura la capacité de revenir après avoir rencontré l’une de ces extraordinairement dangereuses créatures.

Dead nature de Juan Enrique Villarreal (2018, 15 min, Mexique/Allemagne)

Dans un pénitencier, un cuisinier introverti éprouve une étrange fascination pour le plat que lui commande un condamné à mort pour son dernier repas. Des fantasmes enfouis au plus profond de lui-même refont alors surface.

The dreamer de Kenneth Karlstad (2019, 14 min 29, Norvège)

Une mère s’efforce de gérer au mieux les troubles du sommeil de sa fille, lesquels génèrent parfois des accès de grande violence.

The First Days de Nina Knag (2019, 15 min 01, Norvège)

Une femme récemment décédée se réveille dans la salle d’attente de l’au-delà. Quand elle découvre que certains de ses compères accèdent au niveau supérieur en apprenant à voler de nuit dans la forêt, elle décide alors d’infiltrer leur groupe. Au fur et à mesure de son apprentissage de la voltige et de ses conversations avec les autres, elle commence à saisir le vrai sens de sa nouvelle existence.

III de Marta Pajek (2018, 11 min 57, Pologne)

La rencontre soudaine entre un homme et une femme devient un acte hypnotique, un jeu de plaisir et de malaise. « III » est le portait d’une femme qui vit une relation épuisante avec un homme qui l’attire et la répugne en même temps. Ce court est le troisième volet du triptyque « Formes impossibles et autres Histoires».

A estranha casa na bruma de Guilherme Daniel (2018, 15 min 29, Portugal)

Un pèlerin perdu va à la rencontre d’un habitant mystérieux et de son étrange maison, face à l’abîme.

Tomorrow might be the day de Joséfa Celestin (2019, 18 min 47, Royaume-Uni, France)

Un fanatique soumet sa nièce, dont la foi vacille, à un baptême, afin de restaurer sa foi et finalement la sauver d’un déluge imminent.

Retch de Keir Siewert (2018, 4 min 20, Royaume-Uni)

Une femme tente désespérément d’aider son amie Sonia, qui fait une crise inhabituelle. Quand elle trouve enfin les médicaments dont elle a besoin, elle emmène Sonia au sous-sol, qui subit une terrible transformation.

Nyet ! de Alex Helfrecht & Jörg Tittel (2018,11 min 34, Royaume-Uni)

Quand Boris et Olga débarquent à Douvres avec leur précieux chargement, les douaniers et leur cheffe, la redoutable Mrs Pykes, découvrent des vérités cachées – littéralement – en chacun des protagonistes.

Woe is me de Simon Cartwright (2018, 15 min 58, Royaume-Uni) [email protected];

Teddy vient demander de l’aide à une organisation qui pratique la thérapie de groupe. Mais le genre d’aide qu’il recherche passe par une proximité physique qui déroute un peu.

The flood is coming de Gabriel Böhmer (2018, 9 min 03, Suisse, Royaume-Uni)

Dans une forêt, un ermite se prépare à affronter le déluge, mais il est gêné par un voisin bruyant – qui n’est autre que son œil gauche. Une exploration de notre relation de plus en plus angoissante avec la nature et de notre place en son sein.

Films en compétition pour le prix du public : Bruxelles zwanze

Next Floor de Denis Villeneuve (2010, 11min 34, France/Québec)

Au cours d’un opulent et luxueux banquet, onze convives, servis sans retenue par des valets et des serviteurs attentionnés, participent à un étrange rituel aux allures de carnage gastronomique.

Dispersion de Basile Vuillemin (2018, 08 min 27, Suisse/Belgique)

Un homme utilise les services d’une société de pompes funèbres intégralement automatisée pour les funérailles de sa mère.

Spoiler de Evgeny Kolyadintsev (2017, 5 min 23, Russie) 

Une fille trouve un carnet de croquis étrange chez elle. Qui l’a laissé là et pourquoi ? Qu’est-ce qui est caché à l’intérieur ?

The Voorman problem de Mark Gill (2013, 12 min 19, Royaume-Uni) b

On appelle le docteur Williams pour qu’il examine l’énigmatique Mr Voorman, un détenu qui souffre d’une pathologie rare : il se prend pour Dieu. Au médecin de décider s’il simule ou s’il est vraiment malade.

Baghead de Alberto Corredor Marina (2017, 14 min 58, Royaume-Uni)

Kevin est hanté par le deuil et a des questions auxquelles seul le défunt peut répondre. Sa quête le conduit dans le plus insolite des endroits, un espace de stockage minable à l’arrière d’un bar délabré. Il est alors présenté à Baghead, une sorcière polymorphe qui communique avec les morts. Peut-elle apporter à Kevin les réponses qu’il recherche ?

How it Feels to Be Hungover de Viktor Hertz (2018, 10 min 02, Suède)

Un homme se réveille dans une clinique spécialisée dans le traitement des gueules de bois malignes. Le médecin lui prescrit 500 ml de crème glacée et deux comédies trépidantes, mais ce qu’il lui annonce ne l’aide pas à se sentir mieux.

Films hors compétition : Le meilleur de (mais le deux du meilleur de)

Teenland de Marie Grahto (2014, 31min 15, Danemark/Allemange) 

Sally, dix-sept ans, a été internée à Teenland, une institution aux allures de prison, qui accueille des adolescents tellement perturbés sur le plan émotionnel qu’ils ont acquis des pouvoirs surnaturels. L’institution s’efforce de les « soigner », c’est-à-dire de leur ôter leurs pouvoirs. Son objectif est de « normaliser » ces inadaptés sociaux afin qu’ils redeviennent des membres productifs de la société.

5 secondes de David Gonzàlez Rudiez (2015, 3 min 30, Espagne)

Carlos a préparé une surprise à sa femme. Il y a quelques jours, ils se sont disputés et il veut lui présenter ses excuses. 

In Passing de Alan Miller (2013, 05 min, Etats-Unis)

Il n’est jamais trop tard pour « tomber » amoureux.

 I Love You So Hard de Ross Butter (2013, 04 min 20, Etats-Unis)

Lothario est totalement fou d’amour ! Il cherche par tous les moyens à convaincre celle qu’il aime. Notamment en lui démontrant tout, mais vraiment tout ce qu’il peut faire pour elle !

The Karman Line de Oscar Sharp (2014, 24 min, Royaume-Uni) 

Une mère de famille se trouve atteinte d’un mal inconnu, une forme de lévitation qui la soulève du sol un peu plus chaque jour. Son mari et sa fille essaient de faire face.

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