Mis à jour le 1 juin, 2017
Nous avons connu Cannes, Deauville, les lumières de Lyon, Dinard… et force est de dire qu’il y a peu de festival comme Cabourg. Le festival du film romantique sait distiller une ambiance unique, mélanger l’aristocratie du Cinéma avec les festivaliers, sans qu’aucune hiérarchie ne soit faite, dans une ambiance atemporelle et unique.
De l’édition 2016, nous retiendrons, les films, romantiques forcément romantiques qui y ont été présentés, tels que Diamond Island, La loi de la jungle, La danseuse, Les étoiles restantes, mais pas seulement, car l’écrin parfois, est aussi important que le bijou qu’il enserre.
Nous nous souviendrons longtemps de l’hôtel en bord de mer que chérissait Proust et où le cœur du festival bat, de ce tapis rouge longeant la mer normande où les stars évoluent en toute décontraction, de la remise des prix où tout le monde s’avoisine et échange, et de ce dernier jour, où l’on chanta devant Emmanuelle Béart, Joeystarr, Samuel Benchétrit, Céline Sciamma, Elsa Zylberstein, Vincent Macaigne, Vimala Pons, Emmanuel Mouret… qui eux aussi chantèrent pour nous, dans ce salon où, là encore, se côtoyaient à pied d’égalité ceux qui nous font rêver sur les écrans et les anonymes, qui ne le furent plus, ce fameux soir de piano bar qui restera à jamais imprimé dans nos mémoires.
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