Déjà 2 films vus en compétition …
The sea avec Charlotte Rampling est très décevant. Lent, sans génie, le film ne trouve pas son rythme ni ne nous interpelle de quelque façon que ce soit.
The selfish giant n’est pas sans rappeler Ratcatcher, et si la réalisatrice Clio Barnard s’éloigne de son premier film, The arbor, l’un de nos coups de cœur de la formidable édition de Dinard 2010, pour revenir à un format plus conventionnel, plus cinéma, elle n’en prouve pas moins qu’il faudra compter avec elle dans les années à venir.
A mi-chemin entre un bon Ken Loach et un Bullhead réussi, humanisé, the selfish giant nous intéresse et nous surprend dans son développement.