Alors que Gregg Araki avait dans une édition précédente du festival américain de Deauville présenté un film pétillant, pouvant déranger, et très jeune d’esprit Kaboom – nous lui avions alors demandé où et quand s’arrêtait l’adolescence – Gregg Araki est revenu cette année avec un film défi pour lui, classique dans sa forme, avec de la retenue, un film adulte. White Bird est en effet plus à rapprocher du très bon Mysterious Skin que de Doom Generation ou de Kaboom.
Voici quelques clichés du très souriant et facétieux Gregg.