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#ClermontFF22: Quatre rencontres

Le festival international du court-métrage de Clermont Ferrand touche bientôt à sa fin et il nous tarde de découvrir le palmarès du festival. La programmation était riche, dense, et dans l’ensemble très homogène. Nous publierons sous peu un compte-rendu de nos coups de cœur.

Dans la sélection nationale, nous avons notamment apprécié quatre films et nous nous en sommes entretenus avec leur réalisateur/réalisatrice.

Sebastien Betbeder, revenait à Clermont-Ferrand pour la cinquième fois, pour y présenter un court-métrage qu’il a réalisé pendant le couvre feu entre deux long-métrages, Planète Triste, où l’on retrouve son intérêt pour les personnages qui présentent un défaut et peuvent nous toucher.

Lucie Prost propose avec Va dans les bois un récit qui interroge l’adolescence, la force que cette période peut amener, l’émancipation d’une jeune fille en recherche d’aventure.

Laetitia Spigarelli que l’on connaît comme actrice et qui, d’ailleurs, jouait dans un autre court métrage en sélection à Clermont-Ferrand y présente un film qui interroge la rencontre avec la foi, le deuil, le déni, la révélation et l’émancipation, dans Sainte-Baume.

Marin Gérard, est issu de la Fémis. Critique à Critikat, il présentait à Clermont Ferrand à l’ombre l’après-midi, où il confie à son presque double, Quentin Dolmaire, une partition de jeune cinéphile trainant dans les ciné-clubs du quartier latin, et parlant de cinéma.

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