The almond and the seahorse, projeté lors du festival du film britannique de Dinard, s’attaque à un sujet difficile, les effets de traumatismes crâniens, à la fois sur les victimes mais aussi et surtout sur leur entourage, en adaptant la pièce éponyme de Kaite O Reilly. Sujet plutôt tendance, puisque sous peu, sortira en salle le dernier film de Roschdy Zem, Les miens, qui traite (entre autres) d’un sujet équivalent.
Le réalisateur Celyn Jones a fait le choix de s’entourer d’un casting international attractif, très féminin, pour nous raconter son histoire chorale. Il commence par brouiller les pistes, dans une ouverture qui n’annonce pas encore précisément ses thématiques, de façon plutôt habile et intéressante. Le réalisateur, acteur à l’écran et qui interprétait déjà le même rôle dans la pièce, a tenu à changer quelques éléments de cette dernière pour la rendre plus acceptable au plus grand nombre.
Celyn Jones revient avec nous sur son expérience de cinéaste avec une bonne humeur qui le caractérise, et nous dévoile quelques secrets.