Outre le fait que le festival gagne en qualité d’années en années, avec des courts métrage toujours plus variés, de provenances multiples, il est une constance : la très belle esthétique des affiches, qui ne sont pas sans rappeler l’univers d’un Cronenberg.
Sur les dernières éditions on les doit au studio Kerozen dont le directeur artistique est Jean-Charles Debroize.
Il se dégage de toutes ses affiches, et comme il se doit, une part tout à la fois de mystère et de fantastique. Quoi que ce qui nous est montré relève en général de la déformation du réel, de l’étrange, étonnamment ces affiches ne heurtent pas, n’effraient pas, elles intriguent.