Messages récents

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VOS FILMS CULTES / Re : Vos 20 films préférés
« Dernier message par surassa le septembre 18, 2016, 10:02:16 am »
Rabbi jacob avec Louis de Funes



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LES GRANDS REALISATEURS / Re : Steven Spielberg
« Dernier message par yessaq le juin 09, 2016, 01:21:45 pm »
spielberg ou tarantino ??



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VOS SERIES PREFEREES / Re : Vos séries préférées
« Dernier message par Gilles Eusebe le janvier 18, 2015, 04:45:46 pm »
Twin peaks et pour le reste beaucoup plus cinéma que série ...
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VOS ACTEURS ET ACTRICES PREFERES / Re : QUELS SONT VOS ACTEURS ET ACTRICES PREFERES ?
« Dernier message par Danièle le janvier 05, 2015, 11:01:37 am »
Jennifer Lawrence
Elle a ce petit côté insolent et frais que j'aime beaucoup
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STARS IMMORTELLES / Re : Brigitte Bardot
« Dernier message par Danièle le janvier 05, 2015, 10:58:48 am »
elle est magnifique cette photo ! Tellement naturelle !
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Les dents de la mer

La Mouche

La grande bouffe
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PRESENTEZ-VOUS ! / Re : Présentation
« Dernier message par Danièle le janvier 05, 2015, 10:50:39 am »
Bonjour !
Je vous remercie de votre message, c'est effectivement très simple de s'habituer aux fonctionnalités du forum !
Je vais encore un peu naviguer au sein des différents sujets.
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VOS SERIES PREFEREES / Vos séries préférées
« Dernier message par Danièle le janvier 05, 2015, 10:43:01 am »
Comme il n'y a pas du tout de sujets sur les séries, je me suis dit que je pouvais en être le pionnier !!!! Voilà, quelles sont vos séries de prédilection ?
True Blood
House of Cards
Game of Thrones
Silicon Valley
HIMYM
Big Bang Theorie
Breaking Bad
Six Feet Under
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QUE DEVIENNENT-ILS / Kathleen Turner
« Dernier message par Gilles Eusebe le janvier 04, 2015, 02:15:45 pm »
Extrait de Première
Mais qu'est devenue... Kathleen Turner ? Démarrée sur les chapeaux de roue au début des années 80 et l'imposant comme l'une des actrices hollywoodiennes majeures de cette période, la carrière de Kathleen Turner aura déraillé dans les années 90 pour n'être plus que l'ombre d'elle-même dans les années 2000.
C'est effectivement par la grande porte que Kathleen est entrée dans nos vies en 1981, se dévoilant corps et âme (au sens propre) dans le sulfureux La Fièvre au Corps de Lawrence Kasdan. Le rôle de Matty Walker, séductrice démoniaque et irrésistible, l'a en effet imposée dès son premier rôle et redessiné les contours de la femme fatale au cinéma, jouant de son physique et de sa sexualité comme autant d'armes dévastatrices.
S'appuyant sur un jeu instinctif et dévoilant une présence charnelle explosive, Kathleen entre avec brio dans les années 80 et dans l'industrie hollywoodienne - décrochant une nomination aux Golden Globe Awards et aux BAFTA -, et on lui prédit alors le meilleur pour le futur. Des prédictions qui allaient se vérifier rapidement, notamment grâce à sa rencontre avec Michael Douglas et Danny DeVito qui allait déboucher sur plusieurs succès commerciaux et artistiques.
Ainsi, l'aventure du trio débute en 1984 avec A la poursuite du diamant vert, film d'aventure efficace qui voit une romancière sans histoire être catapultée dans la jungle colombienne à la recherche d'un trésor. Le triomphe est immédiat : Kathleen en citadine pépère perdue au bout du monde, Michael Douglas en Indiana Jones vénal, et Danny DeVito en escroc à la petite semaine portent vers les sommets ce film signé Robert Zemeckis qui offre à Kathleen le Golden Globe de la meilleure actrice. Elle a alors 30 ans.Par la suite, comme pour se rappeler au bon souvenir des fans de La Fièvre au Corps, la sculpturale blonde tourne un nouveau rôle sulfureux et dénudé dans Les Jours et les nuitsde China Blue  du brillant et barré Ken Russell, l'histoire d'une jeune femme styliste le jour et prostituée la nuit, qui traîne dans les bas fonds de Los Angeles où elle vend son corps, notamment à un prêtre psychopathe. L'année suivante, Kathleen Turner décroche son deuxième Golden Globe de la meilleure actrice pour son rôle dans L'honneur des Prizzi de John Huston, avant de retrouver Michael Douglas et Danny DeVito pour Le Diamant du Nil, suite de A la poursuite du Diamant Vert tournée en 1985, mais malheureusement réalisée par le tâcheron Lewis Teague.
Moins efficace que le premier film, reposant plus sur un humour de situation à raz des pâquerettes que sur un scénario solide, ce second opus est malgré tout un succès tant les fans sont heureux de retrouver le fameux trio qui les avait fait voyager l'année précédente.En 1986, l'actrice américaine, alors âgée de 32 ans, tourne Peggy Sue s'est mariée sous la direction du grand Francis Ford Coppola, et se trouve nommée aux Golden Globe Awards et surtout aux Oscars pour la première fois de sa carrière, pour le rôle principal de cette comédie avec aussi Nicolas Cage, Helen Hunt et Jim Carrey, qui a cartonné un peu partout où elle est sortie. Après avoir prêté sa voix à Jessica Rabbit dans Qui veut la peau de Roger Rabbit ? de Robert Zemeckis (1988), puis avoir retrouvé Lawrence Kasdan pour un rôle dans Voyageur malgré lui (1988), Kathleen reforme une troisième fois le trio de choc pour un film mis en scène par Danny DeVito dans lequel elle joue la femme de Michael Douglas : La Guerre des Rose.
Cette comédie réussie et d'un cynisme inouï, propose de suivre l'histoire d'un couple du début de sa passion jusqu'à sa mort en passant par le mariage, les enfants et le quotidien insupportable pour les deux parties.
Si Kathleen ne le sait pas encore, cette grande réussite comique va sceller le sort de sa carrière, qui ne brillera plus de la même façon dans les années 90.En effet, à cause de problèmes personnels, d'un succès rapide plutôt mal géré, et surtout d'une faiblesse pour la boisson, Kathleen Turner qui boit déjà beaucoup tombe rapidement dans l'alcoolisme. Les années suivantes, elle n'est ainsi que l'ombre d'elle-même - et son physique commence à sérieusement s'empâter - dans des films comme Un privé en escarpins ou Pas de vacances pour les Blues. Si le trublion John Waters lui offre un rôle démentiel avec lequel elle casse et ridiculise son image glamour dans Serial Mother, sa prise de poids et son sérieux changement physique - dus à des problèmes de santé (à cause de l'alcool, elle est atteinte de polyarthrite rhumatoïde) - la placent sur le bas côté dans l'esprit des décideurs hollywoodiens. Rideau. Après quasiment dix ans à tourner uniquement des téléfilms pour le petit écran, Kathleen fait un come-back réussi au cinéma en 1999 grâce à Sofia Coppola, la fille de son ami Francis Ford Coppola, qui lui propose pour son premier film de jouer la femme de James Woods et la mère de quatre Virgin Suicides.
Après de nouveaux téléfilms sans saveur, l'actrice se tourne finalement vers les séries télé afin de rebondir et fait quelques apparitions "très second degré" dans quelques shows à succès comme Friends (elle campe dans trois épisodes le père transsexuel de Chandler), Nip/Tuck, ou Californication.A cette même période, Kathleen est admise au Marworth Hospital de Waverly, en Pennsylvanie, pour soigner son alcoolisme. Elle confiera au moment d'entrer en cure : "Je n'ai aucun problème avec l'alcool quand je travaille. Mais quand je me retrouve seule, à la maison, je suis incapable de contrôler ma consommation de boisson. Et je m'enfonce dans l'excès. Vraiment. Je veux dire : je perds complètement le contrôle." Une carrière commencée au sommet et maintenue au top pendant une décennie, avant de décliner dans les années 90 et de disparaitre totalement ces dix dernières années. Mais à l'instar de bon nombre de stars hollywoodiennes qui, tel le phénix, renaissent régulièrement de leurs cendres, Kathleen, 59 ans, s'apprête à faire un nouveau come-back au cinéma, pour une énième tentative de retour au premier plan, grâce à Dumb and dumber to, où elle sera entourée des débiloïdes Jim Carrey et Jeff Daniels, pour une suite très attendue du film culte des frères Farrelly qui débarquera sur nos écrans à la fin de l'année.
Comme quoi, les vraies légendes ne meurent jamais.
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QUE DEVIENNENT-ILS / Kelly McGillis
« Dernier message par Gilles Eusebe le janvier 04, 2015, 02:07:16 pm »
Extrait de première
Mais qu'est devenue... Kelly McGillis ?
En 1985, une ravissante blonde à la pureté exacerbée explose au générique de Witness, de Peter Weir, dans le rôle d'une mère amish protégeant son fils témoin d'un meurtre. Aux côtés du flic Harrison Ford et du jeune Lukas Haas, le monde entier découvre la magnifique Kelly McGillis, beauté naturelle et diaphane de 27 ans. Les scènes cultes et naturalistes se succèdent dans ce premier film hollywoodien du réalisateur australien - de la scène de danse, au montage de la grange, en passant par un moment dans la paille et une vision topless achevée par une porte qui se referme -, et Witness propulse d'une façon aussi soudaine que magique sa jeune interprète dans la lumière. L'année suivante, celle qui n'était encore considérée que comme une jeune actrice prometteuse - Witness lui avait en effet offert une nomination aux Golden Globe Awards et aux BAFTA Awards ainsi que de figurer dans la liste des meilleurs espoirs hollywoodiens -, allait devenir un sex-symbol planétaire grâce au rôle de Charlotte "Charlie" Blackwood, l'instructrice sexy dont les talons claquent dans les travées de l'académie Top Gun, le triomphal et cultissime long clip du regretté Tony Scott sorti en 1986.
Avec le jeune Tom Cruise, 23 ans à l'époque, la belle blonde à la mâchoire carnassière et à la plastique irréprochable forment l'un des couples mythiques et emblématiques des années 80. Leurs ébats en ombres chinoises entre une partie de beach-volley torse nu et une promenade en moto à gueuler après un F-16 au décollage sont encore dans toutes les mémoires, et dans le cas contraire, il suffit de trois notes du tube Take my breath away de Berlin pour nous remémorer ces images ancrées dans l'inconscient collectif. Deux ans plus tard, auréolée de ces deux cartons qui lui ont apporté crédibilité - Witness - et succès monumental - Top Gun -, Kelly se tourne vers un projet qui lui tient particulièrement à cœur : Les Accusés. Une histoire de viol et de procès que prépare Jonathan Kaplan et qui narre le combat de l'avocate Kathryn Murphy, qui prend la défense de Sarah Tobias, une jeune femme qui a été violée par trois hommes dans un bar sous l'œil passif, voire complaisant, des autres clients de l'établissement. Un film fort et puissant, sans compromis, pour lequel Jodie Foster - dans le rôle de Sarah Tobias - recevra l'Oscar de la meilleure actrice en 1989, alors que Kelly proposera avec le rôle de Kathryn Murphy, l'une de ses plus belles prestations.
Il faut cependant préciser que ce projet tenait particulièrement à cœur à Kelly, car il lui rappelait l'un des pires épisodes de sa vie : en février 1982, Kelly et sa colocataire avaient été agressées et violées par deux hommes qui étaient entrés de force dans leur appartement de New York. C'est cet épisode tragique qui poussa Kelly à accepter ce rôle, comme pour boucler la boucle avec l'un de ses plus profonds traumatismes. Ce troisième succès en trois ans aurait pu (dû ?) définitivement assoir Kelly McGillis comme l'une des plus grandes stars hollywoodiennes des années 80 et 90. Il marquera pourtant le début de sa chute.
L'année suivante, en 1989, elle épouse en deuxième noce Fred Tillman et elle donne naissance dans la foulée à une première fille, Kelsey.
Puis, au début des années 90, un scénario de Joe Eszterhas est en train de créer le buzz à Hollywood et toutes les plus belles et jeunes actrices du moment sont prêtes à se battre pour faire partie du projet. Il s'agit d'un thriller sexy intitulé Basic Instinct et le réalisateur Paul Verhoeven est en train de rechercher la mante religieuse qu'il opposera à Michael Douglas. Dans la short-list du réalisateur hollandais figure notamment Kim Basinger, Michelle Pfeiffer, Geena Davis, Ellen Barkin, Sharon Stone et Kelly McGillis, mais c'est surtout entre ces deux dernières que le cinéaste hésite.
La seconde grossesse de Kelly au moment du casting - elle donnera naissance à une deuxième fille, Sonora - aura raison de cette compétition. Kelly se retire du projet, et la méconnue Sharon Stone monte les marches du Festival de Cannes en mai 1992. Elle en redescend deux heures plus tard dans la peau d'une star planétaire.Dès lors, Kelly se consacre à l'éducation de ses deux filles. Pendant une dizaine d'années, on ne la verra que rarement, apparaissant par exemple en 1994 dans L'Irrésistible North de Rob Reiner, ou la comédie romantique Premier Regard d'Irwin Winkler, mais il n'est déjà plus question de premiers rôles et Kelly sait qu'après une douzaine d'années de présence médiatique et artistique en pointillés le train est définitivement passé. Elle divorce de son deuxième mari en 2002 et s'enrôle dans quelques séries ou téléfilms inédits en dehors des frontières américaines. Dans le bar qu'elle a créé à Key West (en Floride) et qu'elle a baptisé le "Kelly's", elle rencontre Melanie Leis qui officie alors en tant que barmaid dans l'établissement de l'actrice. C'est le coup de foudre immédiat entre les deux femmes.
Après une nouvelle tentative de retour - notamment à travers quelques rôles d'homosexuelles comme en 2008 dans la série The L Word -, Kelly met un terme aux rumeurs qui courent depuis plusieurs années sur son compte et fait publiquement son coming-out lors d'un entretien au site SheWired.com.Ces dernières années, après avoir travaillé en tant que soutien psychologique avec des drogués et des alcooliques dans le cadre du Seabrook House Drug Alcohol Rehab Center, Kelly est revenue vers ses premières amours, et elle donne aujourd'hui, à 56 ans, des cours d'art dramatique à la New York Studio for Stage & Screen, à Asheville, en Caroline du Nord, où elle vit avec sa femme, Melanie, épousée en 2010.
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